Je crois que dehors c’est le printemps
Concita De Gregorio
Projet & adaptation Gaia Saitta
Mise en scène Giorgio Barberio Corsetti, Gaia Saitta
Avec Gaia Saitta
Scénographie Giuliana Rienzi
Vidéo Igor Renzetti
Son Tom Daniels
Lumière Marco Giusti
Production Les Halles de Schaerbeek
Coproduction If Human - Bruxelles, Le Manège – SN de Maubeuge, Théâtre National de Nice – CDN Nice Côte d’Azur
Texte original paru aux Éditions Feltrinelli
Adaptation théâtrale inspirée d’un triste fait divers italien, Je crois que dehors c’est le printemps cherche à construire un dialogue entre la scène et les spectateurs. Le personnage d’Irina retrouve dans le public les personnages principaux de l’histoire de sa vie. L’enquête se construit sur le plateau, avec le public.
L'histoire d’Irina Lucidi est une histoire vraie, tristement connue en Italie. Un jour, les deux jumelles d’Irina sont enlevées. L'auteur de l'enlèvement n'est autre que son mari. L'homme se tue et les fillettes ne sont plus jamais revues. Irina va se raconter à Concita De Gregorio ; le roman Je crois que dehors c'est le printemps est le récit du témoignage d’Irina.
Gaia Saitta et Giorgio Barberio Corsetti en proposent la version théâtrale. Sur scène, enquête en direct et poésie intime avancent en parallèle, avec la complicité d'un public qui devient protagoniste d'un soir.
Un spectacle subtil et émouvant. L'interprétation de Gaia Saitta fait vibrer l'émotion sans jamais paraître la rechercher. Sur le fil entre la réalité et la fiction, le spectacle nous renvoie ainsi aux abîmes au-dessus desquels flottent nos vies.
Éric Demey, La Terrasse
Soutenue par le remarquable travail artistique de Giorgio Barberio Corsetti, Gaia Saitta ne se contente pas d'interpréter le texte : elle est une magnifique Irina qui tente de dire l'ineffable, d'expliquer l'inexplicable et qui lutte avec courage et détermination contre le néant. Nous sommes là, à côté d'elle(s), bouleversés mais étrangement heureux.
Auguste Poulon, I/O Gazette
L'histoire d’Irina Lucidi est une histoire vraie, tristement connue en Italie. Un jour, les deux jumelles d’Irina sont enlevées. L'auteur de l'enlèvement n'est autre que son mari. L'homme se tue et les fillettes ne sont plus jamais revues. Irina va se raconter à Concita De Gregorio ; le roman Je crois que dehors c'est le printemps est le récit du témoignage d’Irina.
Gaia Saitta et Giorgio Barberio Corsetti en proposent la version théâtrale. Sur scène, enquête en direct et poésie intime avancent en parallèle, avec la complicité d'un public qui devient protagoniste d'un soir.
Un spectacle subtil et émouvant. L'interprétation de Gaia Saitta fait vibrer l'émotion sans jamais paraître la rechercher. Sur le fil entre la réalité et la fiction, le spectacle nous renvoie ainsi aux abîmes au-dessus desquels flottent nos vies.
Éric Demey, La Terrasse
Soutenue par le remarquable travail artistique de Giorgio Barberio Corsetti, Gaia Saitta ne se contente pas d'interpréter le texte : elle est une magnifique Irina qui tente de dire l'ineffable, d'expliquer l'inexplicable et qui lutte avec courage et détermination contre le néant. Nous sommes là, à côté d'elle(s), bouleversés mais étrangement heureux.
Auguste Poulon, I/O Gazette
saison 2020-21