[ coproduction ]

Dans ce jardin qu’on aimait

D’après les textes de Pascal Quignard, Simeon Pease Cheney
Adaptation David Tuaillon, Marie Vialle
Conception & mise en scène Marie Vialle

Avec Laurent Poitrenaux, Marie Vialle

Scénographie & costumes Yvett Rotscheid Lumière Joël Hourbeigt Son Nicolas Barillot Travail vocal et musical Dalila Khatir Construction du décor Les Ateliers du Théâtre National de Nice - CDN Nice Côte d'Azur Remerciements à Éric Didry

Production Compagnie Sur le bout de la langue / Théâtre du Bois de l'Aune - Aix en Provence Coproduction Théâtre National de Nice - CDN Nice Côte d’Azur, Châteauvallon-Liberté - SN de Toulon, Festival d’Avignon, La Comète - SN de Châlons-en-Champagne, Théâtre du Bois de l’Aune - Aix en Provence, Théâtre des Célestins - Lyon, Théâtre Garonne - Scène européenne de Toulouse, Comédie de Picardie - Scène conventionnée d'Amiens avec le soutien de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, des Activités Sociales de l'Énergie, du 104 - Paris, du Théâtre de la Bastille - Paris, du Théâtre de l'Odéon - Paris, du Théâtre de la Colline - Paris
Avec l'aide de Sylvie Cruget, François Chattot et Martine Schambacher

Texte publié aux éditions Grasset

Création le 9 juillet 2022 au Festival d’Avignon

Marie Vialle adapte le roman de Pascal Quignard Dans ce jardin qu’on aimait et propose une traversée entre texte, sons et chants, de l’histoire d’un père et sa fille, sur les traces de cette œuvre commune, inspirée de la vie de Simeon Pease Cheney, premier compositeur à avoir transcrit les chants des oiseaux.

Lors de la naissance de la fille de Simeon, Rosamund, sa femme, Eva Rosalba, meurt. Pendant une vingtaine d’années, il entretient le jardin de son épouse en souvenir d’elle. Quand sa fille atteint l’âge où est morte sa mère, sa ressemblance et sa beauté sont telles que Simeon en est bouleversé. Il la chasse. Il se retrouve seul et note tous les sons d’oiseaux qu’il entend venir pépier dans le jardin de sa cure. À sa mort, Rosamund publie à compte d’auteur le livre de son père Wood Notes Wild : Notes de la musique sauvage et fait ainsi découvrir son œuvre.


L'INTENTION

Encore plus que la musique, c’est l’attention extrême portée aux sons, à l’observation innocente des oiseaux, de la nature, des saisons, des heures, des brins d’herbe, des gouttes d’eau, du monde lui-même qui m’a bouleversée et que je cherche à rendre sensible. L’artiste n’est pas au centre de la création, mais se retire au plus loin, au plus profond de sa solitude pour laisser le monde irradier, éclater de toute sa splendeur, de toute son intensité. Ce mouvement d’humilité et de radicalité me trouble et m’étonne.
Même les choses inanimées ont leur musique. Veuillez prêter l’oreille à l’eau du robinet qui goutte dans le seau à demi plein.
Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! Il n’y a pas que les oiseaux qui chantent !
Marie Vialle


LA PRESSE

Il y a la gestuelle, la voix, la silhouette, la présence si particulière, délicate et affirmée de Marie Vialle.
Anne Diatkine, Libération

Marie Vialle qui raconte sur scène cette histoire émouvante baignée de sons, d'humilité, de sensibilité et d'intensité.
Joëlle Baeta, Tribune Côte d'Azur

Passant avec aisance du théâtre au cinéma, Marie Vialle fait partie de ses comédiennes inclassables au jeu subtil et habité.
Olivier Frégaville-Gratian d’Amore, L’Œil d’Olivier

Marie Vialle, mieux que d’autres, sait raconter. Sa voix douce parvient à faire entendre la vibration intime des mots.
Kathleen Evin, France Inter


©J-L. Fernandez
saison 2022-23
JEUDI 1er DÉCEMBRE
rencontre en bord de scène
à l'issue de la représentation
Dans ce jardin qu’on aimait
Programme de salle
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