LAC
sous la présidence de S.A.R. La Princesse de Hanovre
Les Ballets de Monte-Carlo
chorégraphie Jean-Christophe Maillot
avec les danseurs des Ballets de Monte-Carlo musique Piotr Ilitch Tchaïkovski scénographie Ernest Pignon-Ernest costumes Philippe Guillotel lumières Jean-Christophe Maillot, Samuel Théry argument Jean-Christophe Maillot, Jean Rouaud composition Bertrand Maillot
La danse, élevée au rang d’art total, questionne l’essence même de notre humanité. Souverain et magique !
Le chorégraphe Jean-Christophe Maillot revient envoûter la scène niçoise. Le maître néoclassique a choisi de revenir aux origines mythologiques du célèbre ballet de Tchaïkovski. Débarrassé du romantisme, Le Lac des cygnes apparaît dans toute sa puissance avec des profondeurs insoupçonnées. L’idylle entre le Prince et sa promise est contrariée par l’irruption d’une femme vénéneuse, effrayant oiseau de nuit. La tragédie des amants prend les allures d’une querelle fondatrice entre les ténèbres et la lumière.
La chorégraphie est tonique, explosive, belle à frémir, mise en valeur par la scénographie d’une sobriété élégante imaginée par l’artiste Ernest Pignon-Ernest. Le costumier Philippe Guillotel a doté de plumes les mains des danseuses métamorphosées en créatures surnaturelles. Le sens originel du conte prend vie dans cette épure en noir et blanc, faite de saccades, virtuosité, tourbillons frénétiques et d’une pointe de burlesque.
Cette nouvelle version du ballet de Tchaïkovski, le chorégraphe l’a voulue passionnée et même teintée d’érotisme. Isabelle Pham, Culturebox
Le chorégraphe Jean-Christophe Maillot revient envoûter la scène niçoise. Le maître néoclassique a choisi de revenir aux origines mythologiques du célèbre ballet de Tchaïkovski. Débarrassé du romantisme, Le Lac des cygnes apparaît dans toute sa puissance avec des profondeurs insoupçonnées. L’idylle entre le Prince et sa promise est contrariée par l’irruption d’une femme vénéneuse, effrayant oiseau de nuit. La tragédie des amants prend les allures d’une querelle fondatrice entre les ténèbres et la lumière.
La chorégraphie est tonique, explosive, belle à frémir, mise en valeur par la scénographie d’une sobriété élégante imaginée par l’artiste Ernest Pignon-Ernest. Le costumier Philippe Guillotel a doté de plumes les mains des danseuses métamorphosées en créatures surnaturelles. Le sens originel du conte prend vie dans cette épure en noir et blanc, faite de saccades, virtuosité, tourbillons frénétiques et d’une pointe de burlesque.
Cette nouvelle version du ballet de Tchaïkovski, le chorégraphe l’a voulue passionnée et même teintée d’érotisme. Isabelle Pham, Culturebox
saison 2017-18
