la nuit des gitans
avec Negrita [chant, guitare], Tchoune Tchanelas [chant, palma, guitare], Tania [chant, guitare], Martial Paoli [piano], Jérémie Schacre [guitare], Andreï Tasnicenco [accordéon], Teresa Deleria [danse flamenca], Paco Carmona [guitare flamenca], Djenay [danse gitane]
Voix envoûtantes, violons tziganes, guitares virtuoses et complainte d’accordéon nous entraînent au cœur des cultures du voyage. Une nuit magique et enivrante.
Partis de l’Inde il y a mille ans, chassés par la famine, les Gitans ont gagné l'Orient, le Caucase et la Méditerranée. Gipsies, Bohémiens, Manouches, Sintis, Tziganes, Romanichels… Ces “fils du vent” ont laissé les voyages colorer leur fabuleuse musique. Une musique remplie de force, de liberté, d’énergie communicative. Enfants de cette culture, artistes produits sur les grandes scènes européennes, le chanteur-guitariste Tchoune Tchanelas et Negrita, la Madone des Gitans, puisent dans leurs racines la puissance de leur art.
Le monde festif des musiques tziganes d’Europe centrale rejoint la puissance du flamenco espagnol dans un cocktail explosif. Amis de longue date, les deux interprètes et leurs musiciens nous enflamment dans un tourbillon de rumba, de rythmes endiablés et de jazz manouche.
Inspiré et brillant, Tchoune passe sans transition du classique au tzigane ou au swing manouche. Les musiciens se tournent autour, se cherchent, on sent qu’ il s’en faut de peu qu’ils ne se trouvent. Du pur plaisir. Jean Barak, La Marseillaise
Partis de l’Inde il y a mille ans, chassés par la famine, les Gitans ont gagné l'Orient, le Caucase et la Méditerranée. Gipsies, Bohémiens, Manouches, Sintis, Tziganes, Romanichels… Ces “fils du vent” ont laissé les voyages colorer leur fabuleuse musique. Une musique remplie de force, de liberté, d’énergie communicative. Enfants de cette culture, artistes produits sur les grandes scènes européennes, le chanteur-guitariste Tchoune Tchanelas et Negrita, la Madone des Gitans, puisent dans leurs racines la puissance de leur art.
Le monde festif des musiques tziganes d’Europe centrale rejoint la puissance du flamenco espagnol dans un cocktail explosif. Amis de longue date, les deux interprètes et leurs musiciens nous enflamment dans un tourbillon de rumba, de rythmes endiablés et de jazz manouche.
Inspiré et brillant, Tchoune passe sans transition du classique au tzigane ou au swing manouche. Les musiciens se tournent autour, se cherchent, on sent qu’ il s’en faut de peu qu’ils ne se trouvent. Du pur plaisir. Jean Barak, La Marseillaise
saison 2017-18