La Légende du Saint Buveur
Joseph Roth
Adaptation, mise en scène & jeu Christophe Malavoy
Traduction Claude Riehl, Dominique Dubuy
La Légende du Saint Buveur raconte l’histoire d’Andréas, un sans-abri que la vie a malmené, mais qui s’accroche, croit à son destin, et défend le seul bien qui lui reste, sa dignité. Une adaptation musicale irrévérencieuse où l’interprétation de Christophe Malavoy, empreinte de sensibilité, de retenue et d’émotions, rend l’histoire de ce Saint Buveur presque palpable.
Andréas habite chaque jour sous un autre pont. Un homme le croise un soir sur les quais de la Seine et décide de l’aider en lui offrant une somme d’argent… Andréas refuse d’abord puis accepte la somme mais, en homme d’honneur, il promet de rembourser cette dette. Y parviendra-t-il ?
L'INTENTION
J’ai grandi dans l’admiration de mes maîtres, Buster Keaton, Charlie Chaplin, W.C. Fields qui parlaient de la misère mais avec une dimension burlesque, comique. Mais aussi des réalisateurs comme Pierre Étaix, Jacques Tati, Fellini, Ettore Scola ou Wim Wenders qui déploient des univers qui m’ont fait rêver. J’essaie de retrouver cette puissance d’évocation et j’ai pensé que dans ce texte il y avait une vraie matière poétique qui puisse toucher le public. Et puis j’avais envie de musique. J’imaginais que le personnage, sous les ponts de Paris, jouerait de la trompette comme dans le cinéma de Marcel Carné ou Julien Duvivier. J’ai toujours aimé chanter, et c’est ce que je fais dans le spectacle avec des poèmes d’Apollinaire et de Rutebeuf mis en musique par Léo Ferré. La mise en scène repose essentiellement dans la faculté d’imaginaire que chaque spectateur possède en lui. Il suffit bien souvent de peu de choses pour livrer une émotion, une vérité. Cette vérité, le spectateur l’a déjà en lui, il ne reste qu’à lui laisser le champ libre, le solliciter à l’aide d’une simple sonorité, d’une lumière, d’un silence ou encore d’une phrase musicale afin que son imagination retrouve la liberté de son âme d’enfant à recréer n’importe quel univers ou fantasmagorie. Il n’y a pas plus vraies que nos sensations propres, celles que nous avons rencontrées et vécues tout au long de notre vie. C’est cette mémoire que la mise en scène cherche à mettre en éveil.
Christophe Malavoy
LA PRESSE
L’écriture simple et élégante de Roth est en totale osmose avec le personnage d’Andréas et son histoire. De même, la mise en scène, dépouillée, sobre et délicate, entre en parfaite résonance avec la dernière œuvre de l’écrivain. Ainsi mis en lumière, le texte captive son auditoire.
Toute La Culture
Justesse, humanité, simplicité et humour.
Le Dauphiné Libéré
La magie du spectacle tient le public en haleine jusqu'au bout.
Vaucluse Matin
Scénographie Francis Guerrier Lumière Maurice Giraud Costumes Pascale Bordet, Nadia Meen Son Denis Chevassus Assistante à la mise en scène Catherine Pello
Production L’Arsène Coproduction Théâtre Montansier - Versailles Avec le soutien de la Ville de Saint-Rémy-de-Provence Remerciements Pascal Amoyel [piano], Christophe Lampidecchia [accordéon]
Texte paru aux Éditions du Seuil
©L'Arsène
Andréas habite chaque jour sous un autre pont. Un homme le croise un soir sur les quais de la Seine et décide de l’aider en lui offrant une somme d’argent… Andréas refuse d’abord puis accepte la somme mais, en homme d’honneur, il promet de rembourser cette dette. Y parviendra-t-il ?
L'INTENTION
J’ai grandi dans l’admiration de mes maîtres, Buster Keaton, Charlie Chaplin, W.C. Fields qui parlaient de la misère mais avec une dimension burlesque, comique. Mais aussi des réalisateurs comme Pierre Étaix, Jacques Tati, Fellini, Ettore Scola ou Wim Wenders qui déploient des univers qui m’ont fait rêver. J’essaie de retrouver cette puissance d’évocation et j’ai pensé que dans ce texte il y avait une vraie matière poétique qui puisse toucher le public. Et puis j’avais envie de musique. J’imaginais que le personnage, sous les ponts de Paris, jouerait de la trompette comme dans le cinéma de Marcel Carné ou Julien Duvivier. J’ai toujours aimé chanter, et c’est ce que je fais dans le spectacle avec des poèmes d’Apollinaire et de Rutebeuf mis en musique par Léo Ferré. La mise en scène repose essentiellement dans la faculté d’imaginaire que chaque spectateur possède en lui. Il suffit bien souvent de peu de choses pour livrer une émotion, une vérité. Cette vérité, le spectateur l’a déjà en lui, il ne reste qu’à lui laisser le champ libre, le solliciter à l’aide d’une simple sonorité, d’une lumière, d’un silence ou encore d’une phrase musicale afin que son imagination retrouve la liberté de son âme d’enfant à recréer n’importe quel univers ou fantasmagorie. Il n’y a pas plus vraies que nos sensations propres, celles que nous avons rencontrées et vécues tout au long de notre vie. C’est cette mémoire que la mise en scène cherche à mettre en éveil.
Christophe Malavoy
LA PRESSE
L’écriture simple et élégante de Roth est en totale osmose avec le personnage d’Andréas et son histoire. De même, la mise en scène, dépouillée, sobre et délicate, entre en parfaite résonance avec la dernière œuvre de l’écrivain. Ainsi mis en lumière, le texte captive son auditoire.
Toute La Culture
Justesse, humanité, simplicité et humour.
Le Dauphiné Libéré
La magie du spectacle tient le public en haleine jusqu'au bout.
Vaucluse Matin
Scénographie Francis Guerrier Lumière Maurice Giraud Costumes Pascale Bordet, Nadia Meen Son Denis Chevassus Assistante à la mise en scène Catherine Pello
Production L’Arsène Coproduction Théâtre Montansier - Versailles Avec le soutien de la Ville de Saint-Rémy-de-Provence Remerciements Pascal Amoyel [piano], Christophe Lampidecchia [accordéon]
Texte paru aux Éditions du Seuil
©L'Arsène
Scène 55, Mougins
Durée 1h15 Tout public à partir de 12 ans
Théâtre - Musique
- octobre
- mar 3 20h30

Spectacle accessible au public aveugle et malvoyant
TARIF AUTRE SCÈNE - SCÈNE 55
LE COIN DU LIBRAIRE
Retrouvez la sélection littéraire autour du spectacle par la librairie Jean Jaurès ici !
TARIF AUTRE SCÈNE - SCÈNE 55
LE COIN DU LIBRAIRE
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Sentinelles
Théâtre
Texte, mise en scène & scénographie Jean-François Sivadier
Salle des Franciscains
La Maison de Bernarda Alba
Théâtre
Federico García Lorca
Texte français & dramaturgie Marion Bernède
Mise en scène Yves Beaunesne

Un contre un
Cirque
Mise en scène & chorégraphie Raphaëlle Boitel
Salle des Franciscains