Lamenta

Concept & chorégraphie Koen Augustijnen, Rosalba Torres Guerrero
Direction artistique musicale & chants Xanthoula Dakovanou

En collaboration avec les danseurs et danseuses Lamprini Gkolia, Christiana Kosiari, Konstantinos Chairetis, Petrina Giannakou, Dafni Stathatou, Athina Kyrousi, Taxiarchis Vasilakos, Alexandros Stavropoulos et Spyridon “Stak” Christakis
Et les musiciens Kleon Andoniou [guitare électrique, chant], Solis Barkis [percussions], Dimitris Brendas [clarinette, kaval], Xanthoula Dakovanou [chant], Lefkothea Filippidi [chant], Kostas Filippidis [luth], Stefanos Filos [violon], Avgerini Gatsi [chant], Panagiotis Katsikiotis [drums], Dimitris Katsoulis [violon], Ourania Lampropoulou [santour], Antonis Maratos [basse électrique, contrebasse], Alexandros Rizopoulos [percussions, chant] & Thanassis Tzinas [chant]
Et les invités Magic Malik [flûte, voix] & Nikos Filippidis [clarinette]

Dramaturgie Georgina Kakoudaki, Guy Cools Lumière Begoña Garcia Navas Environnement sonore Sam Serruys Costumes Peggy Housset

Production Compagnie Siamese - Koen Augustijnen & Rosalba Torres Guerrero Coproduction Athens and Epidaurus Festival, Festival d’Avignon, La Comédie de Clermont-Ferrand - SN, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, La Villette Paris, Charleroi Danse, Arsenal Cité musicale-Metz, Le Manège - Maubeuge, Théâtre Paul Eluard (TPE) de Bezons - Scène conventionnée d’intérêt national Art & Création - Danse, Le Maillon Strasbourg, PÔLE-SUD Centre de Développement Chorégraphique National de Strasbourg, Ruhrfestspiele Recklinghausen, MARS Mons Arts de la Scène, Duncan Dance Research Center Athènes
La Compagnie Siamese est soutenue par le Tax Shelter du Gouvernement Fédéral de Belgique, la Ville de Gand et la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

Festival d’Avignon 2021

Spectacle directement accessible au public sourd ou malentendant

Le duo de chorégraphes Rosalba Torres Guerrero et Koen Augustijnen signe Lamenta, une création de danse-théâtre, qui plonge en toute liberté dans les traditions grecques et les tressent à la danse contemporaine. Pour l’occasion, ils rassemblent un groupe de neuf danseurs et danseuses grecques contemporains.

Lamenta porte son regard sur les différents états traversés quand survient la perte, la séparation. Dans toutes les cultures, ont existé des rites entourant le deuil, portés par le chant, la musique et la danse pour pouvoir collectivement exprimer, partager les tourments émotionnels et créer un chemin pour s’en libérer.

Torres Guerrero et Augustijnen ont été frappés par l’impact émotionnel et physique des miroloïs d’Epire lors de leurs différents voyages en Grèce. Ces lamentations chantées, non seulement pour les funérailles mais également lors de départs pour l’exil ou de mariages qui vont éloigner un membre de la famille, contrastent avec le manque d’espace pour exprimer la perte et le sentiment de deuil dans la société contemporaine nord-européenne.

LA PRESSE

Des scènes puissantes par leur incarnation, leur profondeur et leur capacité à dire la douleur et la tristesse.
Caroline Châtelet, Sceneweb

Cette création pour neuf danseurs est une traversée pleine de souffle, du deuil vers la lumière. Une formidable palette d’énergies se déroule dans une irrépressible montée en puissance jusqu’à la transe finale, baignée de lumière. Un jaillissement de vie puisée à la source même de la peine.
Marie-Valentine Chaudon, La Croix

Un immense appel d’air jaillit dans le silence et la nuit. Lamenta a emporté le public dans sa houle.
Le Monde

saison 2022-23