Make Up
Conception & mise en scène Mathilda May
Avec Benoît Blanc, Bruno Gare, Arnaud Maillard, Mathilda May, Patrick Mazet, Dedeine Volk-Leonovitch
Tout comme ses spectacles précédents, Open Space ou Le Banquet, Mathilda May invite le spectateur à observer des humains contraints de cohabiter. Cette fois, c’est à travers une journée de tournage de film, vue depuis le car-loge maquillage. Derrière cette chronique ordinaire d’une journée de tournage, se cachent des émotions fortes et contradictoires. Dans un aller-retour entre le collectif et l’individuel, les spectateurs observent à la loupe, à la fois l’impossibilité et l’enchantement du vivre-ensemble.
L'INTENTION
Mon écriture scénique est née d’un mélange et d’un désir. Le mélange des différentes disciplines pratiquées (la musique, la danse, le jeu) et le désir de créer un langage multiple, hybride et décloisonné.
Le choix de ne pas utiliser de mots dans mes spectacles s’explique, entre autres, par l’envie de stimuler le spectateur en sollicitant son sens de l’observation, histoire de se connecter le plus directement possible les uns aux autres par l’immédiateté du ressenti. Travailler l’expression physique permet d’alterner la puissance narrative du moindre détail, et l’amplitude des grands mouvements dans l’espace scénique.
La présence de la musique et l’approche sonore sont les éléments moteurs de mon vocabulaire. Subtil ou imposant, le son exacerbe l’aspect comique, dramatique, angoissant ou absurde de certaines situations, redéfinissant la perception du réel.
Mon théâtre s’aventure dans l’infinie richesse du comportement humain, pour chercher à illustrer joyeusement à la fois l’impossibilité et l’enchantement du vivre-ensemble.
Mathilda May
LA PRESSE
Ici, personne ne parle, mais tout le monde communique et s’exprime avec son corps, ses tonalités drôlissimes. La salle rit, emballée. Nous aussi.
Catherine Schwaab, Paris Match
On rit beaucoup, mais pas seulement. Il y a une émotion latente, un questionnement sur le milieu du cinéma, ses faux-semblants, sa superficialité.
Nathalie Simon, Le Figaro
La rigueur de Mathilda n’a d’égal que le génie des six comédiens, qui chacun, ensemble et à leur tour, réalisent de véritables prouesses et nous offrent des moments savoureux.
Fou d’Art Blog
Décor Emmanuelle Roy Lumière Laurent Béal Son Guillaume Duguet Musique Sly Johnson Costumes Valérie Adda Assistant à la mise en scène Éric Supply
Production La Compagnie des 2M, Théâtre Marigny Coproduction La Comédie de Picardie, La Maison/Nevers - scène conventionnée Art en Territoire, Lawrence Organisations Avec le soutien de la Région Île-de-France Partenaires Carré Bellefeuille - Ville de Boulogne-Billancourt, Fondation Cultura, RFM, Charlotte Tilbury
©D.R.
L'INTENTION
Mon écriture scénique est née d’un mélange et d’un désir. Le mélange des différentes disciplines pratiquées (la musique, la danse, le jeu) et le désir de créer un langage multiple, hybride et décloisonné.
Le choix de ne pas utiliser de mots dans mes spectacles s’explique, entre autres, par l’envie de stimuler le spectateur en sollicitant son sens de l’observation, histoire de se connecter le plus directement possible les uns aux autres par l’immédiateté du ressenti. Travailler l’expression physique permet d’alterner la puissance narrative du moindre détail, et l’amplitude des grands mouvements dans l’espace scénique.
La présence de la musique et l’approche sonore sont les éléments moteurs de mon vocabulaire. Subtil ou imposant, le son exacerbe l’aspect comique, dramatique, angoissant ou absurde de certaines situations, redéfinissant la perception du réel.
Mon théâtre s’aventure dans l’infinie richesse du comportement humain, pour chercher à illustrer joyeusement à la fois l’impossibilité et l’enchantement du vivre-ensemble.
Mathilda May
LA PRESSE
Ici, personne ne parle, mais tout le monde communique et s’exprime avec son corps, ses tonalités drôlissimes. La salle rit, emballée. Nous aussi.
Catherine Schwaab, Paris Match
On rit beaucoup, mais pas seulement. Il y a une émotion latente, un questionnement sur le milieu du cinéma, ses faux-semblants, sa superficialité.
Nathalie Simon, Le Figaro
La rigueur de Mathilda n’a d’égal que le génie des six comédiens, qui chacun, ensemble et à leur tour, réalisent de véritables prouesses et nous offrent des moments savoureux.
Fou d’Art Blog
Décor Emmanuelle Roy Lumière Laurent Béal Son Guillaume Duguet Musique Sly Johnson Costumes Valérie Adda Assistant à la mise en scène Éric Supply
Production La Compagnie des 2M, Théâtre Marigny Coproduction La Comédie de Picardie, La Maison/Nevers - scène conventionnée Art en Territoire, Lawrence Organisations Avec le soutien de la Région Île-de-France Partenaires Carré Bellefeuille - Ville de Boulogne-Billancourt, Fondation Cultura, RFM, Charlotte Tilbury
©D.R.
Salle de La Cuisine
Durée 1h30 Tout public à partir de 8 ans
Théâtre
- octobre
- mar 10 20h
- mer 11 20h

Spectacle accessible au public sourd et malentendant

After All Springville
[Disasters and Amusement parks]
Théâtre
Concept & mise en scène Miet Warlop
Salle de La Cuisine
La force qui ravage tout
Théâtre
Texte, musique & mise en scène David Lescot
Salle de La Cuisine
Dans la farine invisible de l’air
Cirque
Mise en scène Sandrine Le Métayer
Salle des Franciscains